Mai 252007
 

Ouvrir un petit-suisse, c’est la formule magique pour se retrouver direct un soir à la table de la salle à manger de Pépé et Mémé, devant le lapin bleu à la carotte orange.

J’ai un rapport aux odeurs extrèmement fin. Odorat très développé et souvenirs très présents.

Quels sont vos madeleine de proust à vous ?

  6 Responses to “Brève”

  1. Ouais j’ai la même puissance nasale aussi ouais.
    Normal tu me diras.
    Bah moi je hais le concept de la madeleine de Proust, en fait. Ca m’énerve, c’est trop drastique, j’en ai plein, mais pas référencées, ça prend quand ça prend quoi.

  2. l’odeur de naphtaline du placard de mémé (un truc qui m’a fait bien aimé la maison de retraite hihihi)

    moi aussi j’en ai mais la comme ca a froid…

  3. oulà oui je vois bien que ça t’énerve. J’ai employée cette expression  parce que une expression toute faite c’est bien pratique, surtout tard le soir ça évite de faire des phrases, mais tout le monde comprend ce qu’on veut dire.

  4. C’est un peu plus complexe que les petits suisse : les épinards à la crème mélangés à des boulettes de filet américain écrasées et des pommes de terre trucidées, le tout infâmement mélangé, c’est jubilatoire sous une pluie de gruyère (du vrai hein, pas de l’emmental !)… ça me fait toujours penser aux repas avec mes parents et ma soeur quand j’étais endant 🙂

  5. quoi t’est-ce le filet américain ?

  6. C’est un peu comme du hachis sauf que y a pas le gras, ce sont des beaux morceaux moulus fins. On y rajoute des flocons d’avoine (ou du pain), un oeuf, et on en fait des « boulettes » 🙂

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