Jan 182009
 

Je commençais un post sur notre super nouveau placard à chaussures (je suis hyperfière de nos placards, je pense qu’on devrait lancer un bizness), quand je me suis rendue compte qu’il y avait quand même pas mal de choses à dire d’abord sur l’entrée, même si celle-ci n’a toujours pas sa forme finale.

Voilà déjà comment nous est apparue cette entrée lors de la visite.


Bizarrement, c’est l’entrée qui nous a séduit lors de la visite. Les colombages nous ont fait un effet boeuf.
Pour commencer un plan de l’entrée pour visualiser les différentes parties (et l’emplacement des placards qui sont quand même la finalité de ces notes…)

En fait les étapes de rénovations de l’entrée suivent celles de la mezzanine et de la salle de bains. Puisqu’il a fallu détruire le faux plafond de l’entrée/salle de bain pour construire le plancher de la mezzanine.


On a donc cassé les murs et plafonds et refait l’isolation en chanvre et plaque de bois.
On a ouvert un petit velux au dessus de la porte d’entrée.
Le coffrage est comme partout en plaques de plâtre.

L’escalier qui mène à la mezzanine est dans l’entrée actuelle, mais à terme, il sera dans une mini-chambre, et l’entrée sera beaucoup plus petite.

Maintenant ça donne ça :

charpente

 

carrelage

 

On a posé des fenêtres sur la cloison de la chambre pour pouvoir bénéficier de la lumière dans la future petite chambre.

Il nous reste encore à refaire le mur à colombage sur lequel on posera peut être une fenêtre. Et puis, à monter les cloisons de la mini chambre qui seront à gauche quand on entre.

 

 

 

Jan 182009
 

Ce placard commence à dater, je l’avais complètement oublié.
Pourtant bien pratique, puisque c’est le placard à balais (et à confiture et à planche à repasser et à bazar…).

PlacardBalais-0

PlacardBalais

(clic)

Le bois est protégé par une couche de lasure écolo à base d’huile et de résine de marque « auro« .
Encore des trésors d’ingéniosité déployés pour ce placard. Vous remarquerez que la planche à repasser glisse derrière les étagères… Je trouve nos plans de placards super géniaux, (complètement adaptés à l’espace et à ce qu’on veut y ranger) mais quand même, je me demande si les prochains habitants de cet appart’ sauront s’en accommoder.
Jan 182009
 

Et à bouteilles.
Dans l’entrée, vous pourrez admirer ce tout nouveau placard :

PlacardChaussure-0

PlacardChaussure-1


PlacardChaussures(pas de commentaires sur la places que prennent mes chaussures et celle octroyées aux chaussures de Fred…)

PlacardChaussure-2

PlacardChaussure-4

Tout en bois brut (sapin et hêtre pour les parties visibles), monté avec des vis. Le bois est protégé par une couche de lasure écolo à base d’huile et de résine de marque « auro« .

On se tâte encore sur la méthode de fermeture, pas très pratique à mettre en place à cause de la pente de toit. Pourquoi pas une porte pliante qu’on couperait en biais pour coller à la pente mais cela risque de la fragiliser, sinon la solution la plus simple est de mettre un rideau.

Jan 152009
 

Hier j’ai regardé Derrick  (j’aime Derrick, en plus c’est pile l’heure de la sieste).
Et ben, j’ai été outrée. Figurez-vous que Derrick a une femme. Une espèce de bonnasse à lunettes qui bosse dans le médical.
Non seulement il a une femme, mais en plus il a une vie sexuelle. J’vous jure, pour Derrick et pour un programme à 2 heures de l’après- midi, c’était HOT !
Heureusement qu’ils ont été interrompus par la sonnerie du téléphone et une histoire de meurtre, parce que ça tournait au X !
20 minutes plus tard, ils ont voulu remettre ça, mais la pudeur a encore été sauvée par le gong le téléphone (la bonnasse commençe à en avoir sérieusement marre du téléphone d’ailleurs, je peux vous dire).

Mais le pire dans tout ça, c’est que Derrick, il avait même pas de lunettes.

Jan 142009
 

Allez, juste pour se faire plaisir et parce que ça balance « Je voudrais pas crever »
interprété par les Têtes Raides :


Bordel de merde ça marche pas je sais pas pouquoi. Alors, faites moi plasir et à vous aussi, vous pouvez me faire confiance, cliquez
sur popup sur le lecteur pour écouter ce truc qui fait du bien.

Jan 142009
 

Je savais que ça allait être dur le retour à la vraie vie après les vacances à Prague, surtout parce que ce sont probablement mes dernières vacances avant longtemps (sauf si tout se passe comme je le veux mais c’est pas gagné).
Le décalage dudit retour d’une semaine pour cause de congé maladie bénit me rend probablement les choses encore plus difficiles. J’ai presque prié pour choper la grippe de Fred (en tous cas je lui ai fait le plus de bisous possibles) et gagner encore une semaine après ma rhino-pharyngite infectieuse doublée d’une otite (3 semaines que je suis sourde à gauche), mais ça a pas marché.

Me revoilà en cours à attendre patiemment que la journée se passe, à trépigner parce que les autres font tout par dessus la jambe alors ça avance pas, à m’agacer de leurs réflexions débiles et constantes et à voix haute sur la circulation du carrefour d’en bas, et à déprimer parce que si seulement ils prenaient la peine d’être un tant soit peu plus attentifs, les cours seraient bien plus rapides et on pourrait voir un peu plus de choses.

Mon cerveau (qui me parait bien trop perfectionné ici) n’est pas du tout stimulé et c’est très très rageant. Je boue littéralement en fait. Moi qui adore discuter à bâtons rompus avec des gens brillants et plus cultivés que moi, ce qui me fait étinceler le cerveau, j’ai l’impression ici que tout est rabougris et d’être affreusement plus maline qu’eux (et je vous promet que j’aime pas ça, parce que justement, ça fait pas étinceler mon cerveau délicat).

Mais le pire de tout je crois, c’est qu’il faut supporter leurs réflexions débiles de gens frustres et frustrés qui parlent pour ne rien dire, parce que voyez vous ma bonne dame, en société, il faut parler.
Je vous épargne la totalité mais on a droit à tous les poncifs du genre :

  • Après une visite médicale au centre de la sécu où ils voient des personnes manifestement issues de l’immigration, on a droit aux réflexions  pertinentes sur les fraudes aux cartes de la sécu (qu’ils relient directement aux gens aperçus le matin)
  • Une femme au volant > mort au tournant
  • On parle vacances > les fonctionnaires, tous des grosses faignasses payées à rien foutre


Vous pouvez penser à n’importe quelle banalités débiles surfaites et fausses du genre, vous pouvez être sûrs que je l’ai déjà subie au moins plusieurs fois.

Et si ça se limitait là aussi. Les mecs de ma classes sont tous plus jeunes que moi. Ce sont les pires machos que j’ai jamais rencontrés : les pieds sous la table à la maison, ou devant la télé le reste de temps. Ils ne savent même pas ce qu’ils ont à manger dans leurs gamelles le midi. Les autres filles ? Ça les fait rigoler. Comme leur allusions débiles au moindre mot oulà « chaud les marrons », les fait glousser (les mecs eux je suis sûre qu’il se font des clins d’oeil bien gras avec la bouche ouverte en coin et qu’ils se trouvent supers spirituels). Petite liste non exhaustive de mots à réaction immédiate (rappel, on est en formation agricole) : labourer, rentrer, sortir (pas forcément les deux dans la même phrase hein, dans ces cas là c’est carrément jouissif), queue, lubrifiant, …

De la subtilité et du raffinement quoi.

Et putain, c’est encore plus lourd sur ce clavier de merde qui a une barre espace toute pourrie.

Sur ce, pour vous remonter le moral, je vais poster du Vian.

(note écrite à l’intercours de ce midi. Depuis, j’ai pris un cacheton contre la migraine, alors je suis chimiquement euphorique, et puis j’ai dépensé des sous, et puis, je vais proscrastiner, na, au lieu de faire du syndic tout pourri je vais m’occuper de mon nouveau placard, et peut-être faire une note dessus)

Jan 112009
 

Aujourd’hui, je voulais vous faire découvrir L’âme slave par ce que ça me convient bien comme
concept, mais deezer ne connait pas, alors en attendant que j’ai le temps de me pencher sur la question, ça sera une bluette : « Ses baisers me grisaient », interprétée par Hugues Auffray :



(Vous avez de la chance ça aurait pu être par Nana Mouskouri)