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(oulà plus que deux minutes pour publier cet article le 7 mars, je me suis fixé comme heure du coucher minuit ça va être chaud).
(bon ça y est c’est raté le temps de charger les photos…).
Les vacances c’est… (dans le plus complet désordre)
des balades,
des moutons (les seuls qu’on a vu en fait, alors que moi j’en rêvais ! Pfuuu).
Du saucisson
et des tonnes de cul-bénit.
Du repos (quand même) (c’était pas non plus elle qui avait l’activité la plus folle hein)
1 (UNE) grotte (toutes les autres étaient fermées, comme tout le reste d’ailleurs)
un peu de culture (mais en fait on avait pas le temps de visiter).
Mais les vacances, c’était aussi ça.
Ah oui, et des biquettes (j’ai ramené de la laine à tricoter, je suis tarée, mais moins qu’avant, je sais bien qu’en fait j’ai pas le temps, alors, j’ai décidé de ne pas avoir le temps de faire juste des écharpes, c’est pas long les écharpes ?). Là elles s’en foutent de nous parce que ça ne fait qu’une heure depuis plus d’un mois qu’elles ont le droit de sortir.
Mais y’a a toujours une qui pionce pendant ce temps là.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Hulotte et avoir une idée de qui est Pierre Déom qui fait les magnifiques illustrations de ce journal. J’ai été étonnée de sa voix si jeune, à chaque nouveau numéro je m’imagine un vieillard dont on se demande encore comment il peut toujours dessiner. Mais en fait, il est pas si vieux que ça, c’est moi qui ai vieilli depuis les premiers numéros qu’on a reçu dans la famille. Tant mieux, j’ai toujours peur que le dessinateur change.
Donc, vous n’avez plus qu’à vous remplir les oreilles (passer les 13 premières minutes pour rentrer directement dans le sujet) et vous abonnez.
Bon, cette première balade date déjà d’il y a deux semaines, mais j’ai pas eu le temps d’en parler là.
Pour la promenade, il faut déjà mettre son licol (tout neuf et sur-mesure), mais comme on peut le voir, c’est pas une chose gagnée d’avance.
Surtout quand mes curieux biquets se mettent de la partie (il parait que le cuir, c’est bon).
Finalement, on décide de coincer Ziggy dans une cabane pour lui mettre le licol. Pas trop le choix. Même comme ça, ça nous a pris 10 bonnes minutes (et c’est long 10 minutes dans 5 m2 avec un animal pas coopérant).
Avec évidemment, la bande de zigotos qui se demandent pourquoi ils sont mis à l’écart dehors.
Finalement, on y arrive. Il nous a fallu être 3 pour arriver à ce résultat. Vous pouvez voir que ça n’a pas l’heur de lui plaire à mon p’tit ânon.
Un peu de foin pour se remettre.
Et un test dans la pâture, avant la vraie balade. C’est pas gagné.
Essai pas très concluant, on libère la bête, si malheureuse… (ne JAMAIS croire un âne).
L’après-midi, on part pour de vrai. Il faut à la fois sortir Ziggy et empêcher les 4 autres de sortir.
Mais finalement, une fois sortis de la ferme, tout va bien et Ziggy avance d’un bon pas d’âne. Si tant est qu’on est devant lui.
(Sont-y pas beaux ?)
Depuis on a refait deux balades. Une 6 jours après, après lui avoir laissé le licol toute la semaine pour qu’il s’habitue, et une ce matin. Je lui avait enlevé le licol après la seconde balade, et il a été assez facile de lui remettre aujourd’hui. Hasard ou habitude ? On verra ça la prochaine fois. Pour l’instant, on se contente de faire un ou deux kilomètres pour éviter au maximum la route. Il se comporte plutôt bien, pas de stress trop important avec les chiens ou les voitures. Par contre, il aime pas qu’on s’arrête pour discuter, il repart, tout simplement.
Juste pour vous dire que j’en ai un gros ras le bol, je n’en puis plus, ma tête et mon emploi du temps ne sont pas prêts de ne pas être près d’exploser, et ça me stresse.
Je pensais avoir un peu de répit dans les actes et dans ma tête surtout (ce qui est vraiment possible vu que j’ai la chance de savoir dissocier le travail du reste) ; mais en fait non. L’année recommence alors que je n’ai même pas fini la précédente.
le troupeau a un beau râtelier tout neuf (mais il en faudrait un autre à poser),
y’en a un qui profite du divertissement pour se goinfrer (il faut dire qu’il y a deux cadors qui empêchent les autres de manger sereinement),
et tout le monde s’entend comme larron en foire :
C’est pas très explicite là, mais ils se suivent tous partout. Et contrairement à ce que la taille laisse présager, ce sont toujours les biquets qui mènent la danse.
Quelques portraits des biquets à qui Ziggy a volé quelque peu la vedette
Fuji (pas trop en forme et toujours mis de côté par les autres)
Firmin
et Farenne (le chef, au cas où vous n’auriez pas compris qu’il fallait pas lui en conter)
Farouk étant toujours occupé au râtelier, je n’ai donc pas pu le prendre en photo.
Avec ce râtelier, qu’on a été obligé d’installer pour limiter les problèmes digestifs de nos cabris, et surtout de Fuji pauvre miséreux, c’est encore plus la bagarre pour la nourriture. Alors qu’avant, Farenne se contentait de bousculer Fuji dès que je m’occupais spécifiquement de lui ou dès qu’il mangeait, c’est maintenant Farenne et Firmin, avec son air de pas y toucher et de bon gros pépère, qui bousculent Fuji et Farouk dès qu’ils approchent du râtelier. De vraies charognes, mais mes deux p »tiots se nourrissent quand même.
Enfin…
Quand il y a à manger… Voyez ces pauvres hères :
Évidemment, à partir du moment où tout est apporté tout cuit au râtelier, ou tout cru dans la gueule quand ce sont les carottes, ça prend vite l’habitude de pas trop se fouler à aller brouter la pâture…
Allez une dernière bien jolie, avec les jumeaux et leur nouveau copain :
Noooooonnnn ! 2000 ans d’histoire, une de mes émissions préférées de France Inter qui risque de s’arrêter par le départ de son animateur Patrice Gélinet. Au mieux, ça ne sera jamais plus comme avant, et j’ai du mal à croire que ça soit aussi bien car il avait tout pour rendre ce émission parfaite : la voix, la culture.
Après l’arrêt du mythique et jouissif Parking de nuit de Sophie Loubières, il va plus me rester qu’une émission préférée, La prochaine fois je vous le chanterai. Une fois par semaine, ça fait peu. Et puis, il doit commencer à se faire vieux et retraitable ce bon Philippe Meyer, je me demande à chaque rentrée si ça va pas s’arrêter.
Heureusement que la nouvelle émission de Laurent Lavige est excellente (la meilleure émission musicale que je n’ai jamais écoutée), et que le podcast existe parce qu’évidemment, c’est excellent, mais de minuit à 1 heure du matin.
Globalement, je trouve de moins en moins mon compte sur cette radio, mais les autres sont tellement insupportables !
Hier sur skype, le neveu de 7 ans 3/4, avant même de me dire bonjour
« tata, ton tatouage, il est biodégradable ? »
« je veux dire, quand tu seras morte, il va pas polluer la terre j’espère ? »
Et voilà. Quel intégriste.
Du coup, je me suis renseignée et heureusement que le mien n’est pas en couleur, sinon, j’aurais risqué d’être reniée.
Alors mon p’tit chat, l’encre noire est soit du charbon, soit de l’encre de chine (plein de choses, mais surtout du noir de fumée) ou du suif, je suppose sous forme de noir de fumée également. Donc ce ne sont que des produits naturels, peu transformés. On peut donc supposer que c’est biodégradable assez rapidement, rassure-toi. Cependant, je demanderais plus précisément au tatoueur, et puis je te dirais. Mais il me semble avoir vu une bouteille d’encre de Chine.
Pour le tatouage, vous autres, vous verrez ça quand il sera terminé.
Voilà… c’est mon âne. Il vient de la Ferme de la Praire, de l’Arche de la Nature au Mans. De race âne Normand , il est né le 28 juin 2010 (on va pouvoir fêter tous nos nombreux anniversaires ensemble) Atchoum de l’arche, fils de Jasmina des saules et de Kiwi. Bon, Atchoum, c’est vraiment pas possible et puis j’en ai marre de pas choisir les noms de mes animaux, donc c’est Atchoum alias Ziggy Stardust, et c’est comme ça qu’on doit l’appeller ok ?
C’est Fred qui l’a choisi exprès car c’est une race plutôt petite (1m10 à 1m25 au garrot), pour qu’on puisse lui faire plus facilement des câlins qu’il n’y ai pas trop d’écart de taille avec les biquets et qu’ils puissent se supporter mutuellement.
6 mois, il est tout juste sevré et on est allé le chercher hier. Sa mère était bien triste (les ânes ont toujours l’air triste, mais là, elle faisait peine à voir), mais lui, dès qu’il nous a vu, hop, il était parti pour nous suivre et se ballader. Bon, après, il a vu le camion…
Et puis, il a fallu le faire monter…
Mais, bon, ça n’a pas été si compliqué. J’lui ai filé une carotte (ahah, les gros clichés) et en route. Il n’a pas voulu se coucher de tout le trajet, il y avait trop à voir, mais la route s’est faite sans problème.
Par contre, aucun problème pour descendre du camion, alors qu’on se posait des questions métaphysiques pour savoir si ça allait pas être difficile et qu’on élaborait diverses techniques pour le faire descendre, j’ai même pas eu le temps de prendre une photo correcte, dès la porte ouverte, non seulement il est descendu fissa, mais il a directement été dans les verts pâturages. Quelle brave bête.
hîîîîîî, je craaaaque !!! Il est tout doux en pluche
Alors, évidemment, arrivés là, avec les autres bestioles dans le coin, j’ai fait une vidéo, pour le plus grand bonheur de la foule en délire (et des stats du blog).
Un âne c’est trop sympa et valorisant, ça vous suit partout partout. Du coup, on s’est amusé de la situation en ramenant systématiquement Ziggy près des biquets qui faisaient des allers-retours paniqués entre la pâture et leur home pour échapper à la grosse bête.
Mes pauvres biquets terrorisés tentaient de faire front :
(mais qu’est ce qu’il nous veut çui-là ?)
Et puis du coup, j’ai refait d’autres vidéos au cours de la journée, parce que je rigolais bien. On voit quand même que petit à petits, les biquets s’habituent un peu.
Il y en a toujours un pour faire le malin et s’approcher plus près de Ziggy, mais quand même, c’est grand un âne.
Et ça a été comme ça la grande valse tout l’après-midi
Je vous rassure aujourd’hui, ils sont presque déjà copains comme cochons, à se renifler le museau.
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