Du semis à la plantation : semis en plaque des épinards
Album photo remis en ligne.
Et hop ! Là aussi, nouveau site.
(bon comme d’hab, pas de lien possible entre la ferme et pik siouplait)
il pousse de drôles de choses dans les p’tits pois.
Bon, sinon, ça va pas du tout. J’étais trop contente lundi à la perspective de passer 2 journée entières dans les champs, pour de vrai à faire des trucs qui roulent bien et tout et tout. Il n’y avait, dans mon programme, qu’à désherber et planter.
Ça rentrait nickel, sans se presser le matin, avec ma cop Girly tranquillou assises dans le sable à bosser en tenant le café du commerce. Mais en fait, chu vite descendu de mon nuage. Les mottes d’épinard à replanter sont hyper galère à défaire parce que la vieille bique pingre dame à qui on a racheté la ferme a pas acheté la matériel qui permet de démouler les mottes (déjà le système de mottes en lui-même est très merdique), mais à préféré faire des trucs de bricolos (je passe, vous avez bien compris quelle bonne bricoleuse c’était), donc, de ce fait, ça ne marche pas et il faut démouler chaque épinard un par un. Là, il y en avait plus de 1200. 1 heure par plaque de 240, en plus on abîme les mottes, bref, on y a passé toute la journée. Ca sera plus clair quand j’aurais fait un article sur l’autre blog pour expliquer les semis etc…
Et puis, toujours beaucoup trop d’administratif, très stressant, et surtout parce que, c’est systématique, il y a toujours quelqu’un pour mal faire son travail, qu’il faut qu’on vériifie.
Voilà, je suis sur les nerfs, manque de sommeil, manque de recul, je culpabilise à mort parce que productivement parlant, j’en fous pas lourd, on croirait que Fred fait tout, depuis hier j’ai l’impression de plus rien maîtriser de ce qui se passe dehors (trop d’autres choses à penser, et ça c’est pas normal), ni même d’arriver à anticiper ce qu’il faut y faire.
Réparation de la serre de plants
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Un jour au hasard
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Incroyable et pathétique en même temps. Les arrosoirs, enfin, LE seul arrosoir de la ferme (permettez-moi de juger que pour une exploitation maraîchère, c’est bien peu), donc, même L’arrosoir ne fonctionne pas.
Je sais.
Si on me racontait ça, je ne le croirais pas.
Vous attendiez la poisse du jour ? Et ben, c’est ici.
Il y a des jours où ouvrir sa boite mail peut avoir des conséquences néfastes.
D’ailleurs, il m’arrive même parfois d’être un peu stressée à cette idée depuis quelques mois.
Finalement, les choses ne peuvent pas se faire normalement, ni mes interlocuteurs faire leur boulot correctement (enfin, je dis « mes » parce que là c’est de nos affaires qu’il s’agit hein, je ne souffre pas de syndrome de persécution).
Aujourd’hui donc, message du clerc de notaire qui s’occupe de la création de ma société agricole et qui avait pour mission de faire faire l’immatriculation aujourd’hui. N’ayant pas de ses nouvelles, je l’ai relancé dès la semaine dernière, et heureusement putain, parce que manifestement, il a simplement oublié. Je résume « Mme H. pouvez-vous me rappeler ce que je dois faire ? »
Ahahahahahah !
Donc il va pas envoyer les documents à immatriculer avant aujourd’hui, et sachant que cela se fait via la chambre d’Agriculture, ça va pas être non plus pour demain.
J’ignore quelle incidence cela aura, si ça n’est pas fait rapidement maintenant et si la date d’immatriculation est postérieure à la date de création indiquée sur les statuts (normalement 1/03, mais est-ce une certitude, je me pose la question).
Je vous ai expliqué les imbroglios que c’était de s’installer…
J’aimerais, une bonne fois pour toute ne pas avoir à faire ou à mâcher le travail qui ne m’incombe pas et pour lequel je ne suis pas compétente. Et pouvoir enfin arrêter de devoir sans cesse relancer les intervenants. Putain, c’que c’est fatigant.
La parcours à l’installation.
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