Vendredi 6 mai 2016
(fin de la première semaine en « horaires d’été », ce fût … intense).
La journée a bien commencée avec la première fleur de courgette (enfin, une fois qu’on s’est occupé de la marmaille miaulante, bêlante et brayante).
Ensuite, palissage des concombres (les séries 1 et 2 sont plantées depuis 2 semaines) et désherbage des mêmes (3 heures de boulot ; 1h30 à 2)
Après quoi nous avons repiqué les secondes séries de poivrons et aubergines qui attendaient depuis quelques jours que nous soyions un peu disponibles. Ça nous a pris du temps (3h) mais je crois qu’on a fait pas mal de bricoles en même temps (remonter des sacs de terreau, ranger des trucs, …) : 144 aubergines, 52 poivrons rouges, 4 poivrons jaunes, 30 poivrons oranges, et 33 piments d’espelette. On remercie les souris qui se sont servies sur les très jeunes pousses aussitôt qu’elles ont pointées le bout de leur nez.
Puis on a palissé les petits pois. Je n’ai pas de photos, c’est trop moche. Je suis au regret de vous annoncer que cette année, ça va pas être la fête du p’tit pois, et qu’ils seront rares. Maggie a beau chasser plusieurs souris par jour, et de plus en plus grosses (d’ailleurs hier elle a chopé celle qui a boulotté les poivrons), elle n’en est pas encore à la taille « lapin ». D’ailleurs, pendant ce temps là, ma p’tite chatte mignonne se reposait de ses exploits.
Après le dejeuner, après-midi essentiellement dédié au desherbage :
On s’est attaqué (et on a fini) celui de la pépinière de choux (rouges, frisés, blancs et de Pontoise) ; ce qui nous a pris la bagatelle de 5 heures (2h30 à 2)
Puis Aline est allée faire la corvée d’arroser les semis (CORVÉE est le mot, ça lui a pris près de 3/4 heure et on ne met pas moins d’1/2 heure en ce moment avec tous les semis en cours et cette chaleur), pendant que je plantais à peu près 300 salades diverses.
Fin de la journée avec le désherbage d’autres salades, regardez comme c’est beau !
Fred qui lui profite du pont, a fait du travail du sol toute la journée sur son gros tracteur et a butté à la main les patates dans les champs.
Magnifique non ? Un boulot très pénible que je suis bien contente de ne pas avoir eu à faire (♥). Il n’a pas pu le faire à la butteuse, car, conséquence des gelées, les plants étaient trop disparates en tailles pour que le réglage de l’outil puisse leur convenir à tous.
Il a fallu encore s’occuper des animaux mugissants de toutes tailles, et en prendre une paire en photo (c’est jaloux ces machins là !!!)
Puis quelques heures encore à faire de la paperasse et voilà une bonne grosse semaine, pas encore terminée !