(Je tiens tout d’abord à signaler que tout le jardin est l’oeuvre de Fred -comme presque toute la maison d’ailleurs-)
Tout l’automne et tout l’hiver, Fred s’est attaché à préparé le jardin : retournement des parcelles de l’an passé, plantation d’engrais vert, recherche d’amendement pour tâcher d’améliorer le sol (il est pourri à l’origine, sableux donc très drainant et sans l’humus indispensable pour faire pousser les plantes), et construction…
D’abord, le tas de fumier récupéré chez un fermier, qui va donc être épandu pour amender le sol. Avant ça, il y a eu des copeaux de bois, récupérés en bord de route.
À coté, vous pouvez voir la phacélie qui va servir d’engrais vert.
Là, les seules productions de l’hiver :
d’abord les épinards (même si ça a si peu donné qu’on en a mangé qu’une fois… Ceux là, ça fait 3 mois qu’on attend de pouvoir les bouffer…)
La mâche (sort à peu près identique…). On ne le voit plus maintenant, mais elle était mise sous « tunnel » (arceau + bâche plastique) dans l’idée de la protéger du froid et de la pousser à pousser plus vite et avec plus de rendement. On va dire que ça aurait été pire sans.
Et les poireaux qui sont toujours restés complètement ridicules :
Les fraisiers : paillées pour éviter l’évaporation et les mauvaises herbes (et accessoirement, ramasser des fraises bien propres). Fred a l’intention de placer une couverture de survie bien brillante sur la haie pour chauffer les fraisiers par réflection et avoir des fraises plus tôt .
Les framboisiers :
Et pour les plantations extérieures actuelles, LA RHUBARBE ! On a cru qu’elle était morte, mais non. Merci la belle-mère de la mère de nos neveux.
ATTENTION ! Le clou du jardin ! Le châssis-serre. Une très belle réalisation de Fred, qui se demande comment il occupera ses journée quand il n’aura plus un apprt’ à refaire.
Chute de bois de l’appart (donc chêne et hêtre, excusez du peu) et fenêtre de recup. Admirez :
(Les petits pois ont été ressemés en pleine terre ce matin).
Et la star du jardin, et non ce n’est pas Lilou (je suis sûre qu’il y a un matou norvégien qui traîne à Orléans et qui tire tout ce qui bouge, si vous saviez le nombre de chats poilus qui traînent dans les rues de l’agglo…). Le chat du coin qui se fait un petit parcours sportif sous les reste du ‘tunnel’