Mai 282009
 

Sur votre compte en ligne sur le site ameli.fr, vous pouvez voir quel a été le montant de vos prestations forfaitaires et celui des franchises.
Pour ma part, en 2008, il m’en aura coûté 46 € en tout.
Pour 2009, j’en suis à 22 €, on est même pas à la moitié de l’année.

On dit merci la migraine (maladie chronique pour tous ceux qui en souffrent et incurable, je le rappelle…), la contraception, et malheureusement pour moi une tendinite insoignable.

Je comprends que certains n’aillent plus se faire soigner.

Rappelons que malgré cette participation, le service rendu par la sécu à mon égard n’est pas du tout à la hauteur de ce qu’on peut en attendre.

Mai 252009
 
Enfin, en l’occurence à Paris, où je l’accorde, c’est pire qu’ici.
J’ai suffisament râlé contre le comportement des automobilistes pour être ravie de vous présenter ce qui se passe réellement, tous les jours, quand on prend son vélo.
Tous les jours, c’est le terme exact, et encore, moi j’utilise sur la plus grand partie du trajet une piste cyclable séparée de la route (bien que les deux roues motorisées n’aient pas l’air de
l’avoir compris).

C’est un peu long mais c’est exactement ça. J’espère que ça fera réfléchir d’autres personnes que les
convaincus.

Mai 252009
 

(il est parti hein sinon).

En plein jeu d’addition, il me demande :
« Tata, ça fait quoi 1 et 4 ? »
« 5 »
« Mais non, je te demande, ce que ça fait 1 et 4 »
« Ben 1 et 4, ça fait bien 5 je t’assure »
Agacé :
« Mais non ! 1 et 4 ça fait quoi comme chiffre, ou comme nombre »
« Ben justement, ça fait bien le nombre 5 »

« Mais non ! (très énervé que je comprenne rien à rien). Je te dis
1 et 4 ça fait quoi comme chiffre, ou comme nombre ? »
(il a pourtant bien essayé de m’expliquer ^^).
Moi, illuminée (enfin !!)
« Ah oui ! Je crois que j’ai compris. Ça fait 14 »
« Voilà c’est ça ! »

« Ben on s’est pas du tout compris ! »
« Nan, c’est toi qui avait rien compris »

Mai 132009
 

(ça faisait longtemps)
Aujourd’hui, de retour de l’école, en voiture (oui c’est mal), je trouve à me garer miraculeusement dans notre bout de rue, dans laquelle il n’y a que deux places autorisées, et qui était à cette heure complètement vide (il faut dire que la fourrière est passée hier…).
Une jeune fille me suivait et se gare également derrière moi. ça me parait logique, je suis sur la place la plus près de chez moi (hey ! quand on commence la journée -huuuumm la semaine devrais-je dire- faignasse, on la fini faignasse), et la seconde est 3m derrière, et puis, là, j’hallucine total, vu qu’en fait elle se gare juuuuuuuuuuuste derrière moi (le pire est qu’elle a dû trouver ça malin), devant une porte d’entrée de maison qui indique bien, comme sur la notre, et comme d’ailleurs les bandes jaunes sur le trottoir, que c’est strictement  interdit.
En sortant de la voiture, je l’interpelle, et lui fait remarquer qu’il y a une vraie place autorisée juste derrière, que ça serait mieux qu’elle s’y gare, que ça éviterait de gêner les habitants (on peut pas sortir de chez nous avec les vélos, poussettes etc… quand une voiture est garée devant).
Elle me regarde, interdite « pourquoi, là on a pas le droit de se garer ? »
Bon là ça m’a un peu agacée déjà, je l’avoue, parce qu’il me semble que le fait que ça gêne les riverains devait être une raison suffisante.
« Oui, les bandes jaunes c’est pour dire que c’est interdit de stationner »
« QUOI ? mais alors ça veut dire que tout le reste de la rue c’est interdit de se garer »
(et oui cocotte, bienvenue dans le monde des gens qui connaissent le code de la route…).
« Oui, effectivement, c’est le code de la route ».

Elle fait mine de s’en foutre et de partir. Je lui fait remarquer que quand même elle pourrait prendre la peine de se déplacer.
« Oui ben hein, c’est déjà tellement compliqué de se garer ici ».
Je vais pour lui faire ma morale sur le stationnement dans le quartier (je sais pertinemment que si on prend la peine de se garer correctement c’est possible, même si il faut parfois marcher ensuite 5 min.), et puis finalement, je me ravise et dit juste :
« Oui mais là justement vous avez la place, y’a une vraie place derrière et vous n’avez juste qu’à reculer ».
Et je fini ma phrase alors qu’elle se dirige vers sa voiture (victoire) « si vous deviez sortir tous les jours de chez vous avec une poussette et que vous en étiez empêchée par une voiture, peut-être que vous comprendriez ».
« Ouais bon ça va », qu’elle s’énerve, « pas la peine de m’agresser là, je vais changer de place »
(alors là ça m’a HYPER vexée parce que j’étais pas DU TOUT agressive).
« Déjà qu’on peut pas se garer devant cette porte », qu’elle dit en indiquant la notre.
« Bon là c’est vous qui êtes vraiment de mauvaise foi, je vous agresse pas du tout ».

La conversation s’arrête un instant là, puisqu’elle rentre dans sa voiture et que ayant atteint mon but, je n’avais plus rien à lui dire, quand elle sort la tête pour m’asséner l’argument fatal en indiquant l’endroit qu’elle était en train de quitter :
« oui et ben, comme ça, maintenant, y’a quelqu’un qui va pouvoir se mettre là ».